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Le 8 août 1956, 262 mineurs ont péri dans l'incendie de la mine du Bois du Cazier à Marcinelle (Charleroi). En 2023, une équipe multidisciplinaire de chercheurs a pu formellement identifier deux des 14 victimes qui n'avaient pas pu être identifiées à l'époque. Ce mars 2024 l’équipe a confirmé l'identité d'une troisième victime.

Des paléontologues ont mis au jour une dent fossilisée d'un requin blanc encore enfoncée dans l'os du talon d'un phoque, éclairant un événement dramatique survenu il y a 4,5 millions d'années.

Une équipe internationale de paléontologues a mis au jour une diversité  impressionnante de fossiles du Crétacé inférieur, à Jezzine, dans le Sud du Liban. "Il est rare de recueillir une telle diversité dans un écosystème terrestre de cet âge et cette région du globe", déclare la paléontologue Ninon Robin de l’Institut des Sciences naturelles.

Quinze ans après le début du programme, le suivi des effets écologiques des parcs éoliens offshore belges continue d'apporter de nouvelles informations. Ce n’est que grâce à une surveillance continue et adaptative que nous pourrons garantir que nous concevons et construisons des parcs éoliens offshore de la manière la plus respectueuse de l’environnement.

Ce matin, un dauphin commun  (Delphinus delphis) mort s'est échoué sur la plage d'Ostende, près de la digue ouest. Il s'agit d'une femelle mesurant 2,07 mètres de long.

Etienne Steurbaut, ancien chef du département de paléontologie de notre Institut, a reçu la plus haute distinction en géologie qu'un scientifique puisse recevoir dans notre pays.

Les Égyptiens de l’Antiquité élevaient des babouins en captivité avant de les momifier, selon la recherche de l'archéozoologue Wim Van Neer, de l'Institut des Sciences naturelles, et ses collègues.

Le Bilan de Santé 2023 évalue l'état de l'océan Atlantique du Nord-Est. Le changement climatique et l'acidification sont devenus des moteurs de changement. La biodiversité et les habitats restent menacés, mais la qualité chimique du milieu marin s'améliore.

Les lits de gravier de la mer du Nord belge abritent une faune unique, vulnérable aux activités perturbant les fonds marins, mais sont également fortement exploitée. Ce paradoxe souligne la nécessité d’une protection plus efficace.